"La chaleur torride"
Les adieux de la diva
Pas facile d'oublier puisque "rien ne s'oublie"
C'est la folie ces deux-là
20 juillet 2003 un carton qui me bouleverse
!
Lui (à droite), il veut s'en aller, aller là où il
est appelé à aller. Il est venu en ce monde pour ce chemin.
Elle (à gauche), sa mère,
elle le retient. Elle a vu l'ombre géante de la croix sur son fils
: pour l'instant, la mère la porte, cette ombre. Déjà.
Ce que j'aime tres tres fort, c'est la forme de l'espace entre la mère
et le fils, espace clos, protégé,
qui les lie encore jusqu'à ce que.
En haut, La Bête
En bas, La terre.
L'appel
L'ébouriffée (ou la décoiffée)
L'enfant et l'oiseau, un jeu.
Sujet
La chaleur torride me fait voir des êtres qui se dé-forment,
mille-forment, multi-forment...
alors, de retour au 29, dans mon isba, au frais, je soulève, déchire,
soupèse presque l'image,
la fais évoluer, s'envoler, jusque, par moment, l'élimination complète
! Elle n'est plus là, elle y était,
j'ai vu, j'ai souri... c'est passé. Reste "le présent", cadeau visible
à tous ceux à qui il a été donné
des yeux pour VOIR. Quant aux autres.
Description
8 cartons
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- Jane Rosinski - 29, rue Soubeyran
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